Grâce à l’étude du virus SIRV2, qui est capable de survivre dans des environnements extrêmes, des chercheurs de l’Université de Washington, de l’Université de Virginie et de l’Institut Pasteur ont révélé un mécanisme fondamental de résistance de ce virus à la chaleur, à la déshydratation et au rayonnement ultraviolet. Cette découverte ouvre la voie vers le développement de nouvelles méthodes d’encapsidation de l’ADN pour la thérapie génique.