Des scientifiques de l’Institut Pasteur à Paris et du CNRS, en collaboration avec les Universités de Bâle et de Cambridge, ont identifié le mécanisme par lequel la bactérie Mycobacterium ulcerans provoque les ulcères de Buruli, ouvrant ainsi la voie vers de nouvelles approches thérapeutiques contre cette maladie cutanée invalidante, en émergence depuis plusieurs décennies. Ce travail est publié en ligne dans The Journal of Clinical Investigation.