La plupart des agents viraux pathogènes ayant émergé durant les dernières décennies chez l’homme est d’origine animale. En effet, des chercheurs de l'Institut Pasteur viennent de démontrer, pour la première fois scientifiquement, au niveau épidémiologique, qu'un contact spécifique avec un singe représente un facteur de risque dans le cadre de la transmission d'un rétrovirus pathogène (STLV-1/HTLV-1) chez l'homme.